Je suis Céline Cado, bienvenue dans mon univers

Authenticité et générosité : deux qualités qui me définissent en partie. Il est donc tout naturel pour moi de vous partager mon chemin de vie. Pourquoi et comment j’ai choisi le chemin de l’accompagnement thérapeutique au service de la Vie ? Voici mon histoire…

À l’origine…

Bretonne d’origine par ma naissance, je me suis retrouvée à expérimenter cette vie en commençant à vivre chez mes grands-parents maternels, Marie Louise et Louis Cado, jusqu’à l’âge de 11 ans, en campagne nantaise. Ils avaient connu les deux grandes guerres et cette expérience partagée me permettra de comprendre très tôt que l’essentiel était la présence, la paix et l’amour. La présence aussi parce que mon grand père avait la maladie d’Alzheimer  et que finalement il est toujours maintenant, ou très loin, mais toujours ici… un début d’apprentissage de la pleine présence, sans le savoir.

Par la suite, j’ai grandi avec ma mère, Nelly, restauratrice, et mon père adoptif Pascal, Marie-Galantais, cuisinier, les Antilles et particulièrement Marie-Galante dans le corps et dans l’âme au quotidien.

Mon âme m’avait rappelé que j’étais une femme métisse,  nourrie par  un seul désir : trouver du sens, et me souvenir de pourquoi j’étais sur terre. Et aussi, sûrement guidée inconsciemment par le désir de retrouver mes origines du côté paternel, un père que le bébé en moi avait connu, dont l’adulte que je suis ne se souviens pas consciemment.

C’est en 2016 que je découvre que ma grand mère paternelle était guérisseuse la seconde partie de sa vie,  et comprends encore mieux cette quête de compréhension de l’invisible depuis mon enfance (pensant que tout le monde voyait l’invisible, notamment les défunts) et la façon dont je pratique avec cet invisible, mes perceptions et ma connexion aux éléments du vivant.

Renouer avec mes  racines invisibles m’a permis de consolider mon lien profond avec mes ancêtres et de nourrir ma quête de sens, en apaisant des  peurs, en vivant le détachement pour me reconnecter à cet autre essentiel : le vivant. Je me suis réconciliée avec  ma nature profonde pour intégrer mes héritages spirituels bretons et antillais.

Je ne suis qu’un maillon, entre le passé et le futur.

Je me libère de l’amnésie et continue à chercher avec amour la vue, guidée par le vivant.

C’est ce chemin intime qui a façonné ma singularité et aujourd’hui me permet de me manifester avec acuité dans ma pratique.

Être au présent et contempler avec émerveillement la vie qui nous traverse, se manifeste et s’échappe un jour.

C’est ainsi que j ai appris à être présente à la vie, à écouter ce qui s’invite  dans l’instant présent, à vivre l’expérience pour s’en détacher, renoncer, laisser mes intuitions s’exprimer, me laisser être et m’émerveiller de ce qui est.

Ma formation, mon parcours...

Mon parcours

De formations de coach en formations d’hypnose Ericksonienne et de constellations en France et au Mexique, je me suis apprivoisée pour construire ma place de professionnelle de l’accompagnement dans sa double dimension. J’ai avancé vers une autre partie de moi-même, la part la plus authentique et au service des autres, cultivant progressivement une harmonie intérieure, fondée sur un juste équilibre personnel et professionnel, pour déployer ma congruence à l’extérieur et participer à un monde meilleur. Aujourd’hui, je m’emploie à préserver la justesse de chacun de mes pas.
C’est pourquoi « La théorie des petits pas » (livre de coaching ericksonnien co-ecrit avec Teresa Robles et autres auteurs) est source d’inspiration pour ma pratique professionnelle. Au cœur des accompagnements que je propose, chaque pas est utile, nécessaire et indispensable pour aller vers soi et pour se réaliser.

Ma formation

Mon chemin d’accompagnement depuis 2008

À la suite d’une réorientation de carrière à 35 ans, j’ai choisi d’exercer le métier de coache professionnelle et de thérapeute. J’ai décidé d’accompagner les personnes dans leur quête de sens, pour leur permettre de (re)trouver leur juste place, d’être et d’oser être en tant que personne, puis en tant qu’acteur de la société civile. Avec mon soutien, elles se reconnectent à leur nature profonde, reconnaissant en conscience leurs besoins et leurs émotions. Ainsi, ancrées de l’intérieur, engagées dans une démarche de (re)construction par la connaissance de soi, elles peuvent s’exprimer et agir pleinement au service d’une humanité bienveillante. Tel est mon chemin d’accompagnement depuis 2008.
"Le phare de Magdesh" : un point de départ

Deux ans avant d’activer cette réorientation de carrière, j’avais été inspirée par la lecture du conte « le phare de Magdesh ». Ce récit d’aventures imaginaires m’a emmenée plus loin que tout ce que je pouvais imaginer. Il m’a transportée bien au-delà de ma zone de confort jusqu’à cette zone dite magique… celle de la créativité, celle de la sérendipité. J’avais la conviction, l’intuition que c’était mon juste chemin. Ce texte a été un point de départ et m’a accompagnée à devenir qui je suis aujourd’hui. Pour moi, ce conte est la métaphore du métier de coach et thérapeute : accompagner en étant un jardinier le l’âme, prendre soin du jardin intérieur, c’est accompagner à observer, accepter, renoncer, décider et planter les graines utiles pour continuer son propre chemin. Être à côté, proposer des hypothèses, des tâches à réaliser, laisser la personne faire son propre chemin et ensuite la laissez agir et atteindre son but ou pas, puis se retirer délicatement, une fois la mission d’étayage temporaire accomplie. Avec passion, j’aime incarner cette présence présente, précieuse pendant un temps, celui de l’inspir, puis, à l’expir laisser jaillir la part de vérité de l’autre en lui et lui laisser l’incarner dans la liberté de sa conception. Ainsi, j’ai trouvé mon étoile polaire et, depuis, je suis toujours en chemin…

Itinéraire d'un enfant intérieur
D’aussi loin que je me souvienne, une triple question m’est apparue comme un mantra… d’où viens-je ? qui suis-je ? Que suis-je venue faire sur terre ?
Petite, dans la maison de mes grands-parents, là où j’ai grandi, de mon fauteuil, discrètement, j’observais… J’observais les jeux visibles et invisibles des adultes. J’observais que, sur le même sujet et d’une pièce à l’autre, les protagonistes du système émettaient et proposaient des versions différentes d’un fait, d’une expérience partagée. Je comprenais alors que, dans le monde des adultes comme dans le monde des enfants, on se racontait des histoires…. À la différence que, dans celui des enfants, ces derniers se désidentifiaient du personnage dans l’instant où l’adulte le questionne.
Dans le monde des adultes, le port de masques et de costumes n’est pas qu’un jeu de composition, mais bien une seconde nature qui recouvre la première au point de la remplacer. Et si les adultes avaient oublié d’où ils viennent ? Et pourquoi sont-ils sur terre ?
J’observais la complexité de l’adulte à trouver sa juste place dans sa famille et dans la société. J’appris à développer mon intuition, le non jugement, la non interprétation, le sens de l’analyse en observant les jeux des adultes comme ceux des enfants.
Et puis en grandissant, à mon tour j’ai petit à petit oublié pour quoi j’étais faite, quelle était ma nature profonde, quelle était ma juste place. J’ai appris très tôt à porter des masques et à me déguiser pour m’adapter à un monde que je ne comprenais pas et qui me faisait souffrir. J’ai donc troqué ma tenue de fleur des champs. Moi, jolie fleur odorante, bouton de rose à la forme unique, je me suis travestie en une fleur commune de serre, peut-être même en fleur artificielle. Pourquoi ? Assurément pour rentrer dans le bon vase, ou plutôt ce que je croyais être le juste vase à l’époque. Celui qui rend heureux en apparence. Je vivais plus dans l’avoir que dans l’être. J’avais l’air et pas la chanson ! De façon inconsciente, j’avais besoin d’être apprivoisée… Alors pour être apprivoisée j’avais renoncé à toute la quintessence de ma fragrance. Des croyances limitantes s’étaient installées comme des vérités absolues. J’ai perdu de vue mes besoins, mes valeurs.
A 35 ans j’ai dû à nouveau m’apprivoiser, écouter mes besoins, et retourner à ma nature profonde. je me suis reconnectée à moi-même par un chemin de découverte, de déconnexion et de re-connexion à mon identité profonde, à mon âme. J’ai retrouvé le sens de ma vie pour être qui je suis. Être à ma juste place et faire ma part, celle du colibri. « De ton ennemi fais-en un ami » : alors je suis devenue, et je veille au quotidien, à demeurer ma meilleure amie. Et à la vitesse des petits pas je suis accompagnée à chaque instant par la Beauté et l’émerveillement qui sont aujourd’hui mon oxygène nécessaire pour que mon âme continue à s’incarner.
Deux paroles ont été particulièrement inspirantes pour moi à mes débuts et me suivent, au point de les mettre sur ma première carte de visite en tant que coach professionnel, comme une direction que je proposais aux personnes que j’allais accompagner.
Il s’agit de la parabole « qu’as-tu fais de ton talent » Mathieu V… , et la parole de Gandhi « Sois le changement que tu souhaites voir dans le monde. »
elles sont toujours d’actualité et la dynamique des petits pas demeure au cœur de ma pratique professionnelle.

Coaching individuel et collectif

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Constellations familiales : se former

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Participer à une constellation familiale

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